| 2A vous la parole
SIDA (TEMOIGNAGE)
Au moment où ces quatre lettres font couler tant
d'encre et de salive, et provoquent aussi tant de malheurs,
nous venons d'enregistrer l'un des plus étonnants résultats
de l'instinctothérapie.
Un jeune étudiant en médecine atteint de SIDA a pu pra
tiquer l' alimentatin originelle en service hospitalier
(tout est possible quand on veut!) avec tous les contrôles
médicaux de circonstance. Il a tenu à vous faire part 1E1
de ses premières contatations, apparues déjà après une
"cure instincto" de quatre semaines.
Vous verrez que les résultats obtenus vont dans le sens
de hypothèses instincto sur les maladies utiles: le SIDA
serait un virus utile comme les autres, mais conduisant à
des troubles qui peuvent dégénérer lorsque l' alimentation
s' éloigne trop des données pour lesquelles notre program
mation génétique est prévue.
Jes précise, pour éviter toute inquietude de la part des
curistes et stagiaires venant à Montramé, à propos d' une
éventuelle contagion, qu' aucun cas de SIDA ne sera "soigné"
au Château. Nous avons au contraire l' opportunité de prou
ver que le SIDA peut être traité par l' instincto en milieu
hospitalier ou à domicile, moyennant une formation adéquate
des malades par le biais de diététiciens eux-mêmes formés à
la méthode.
G.C.B.
J' AI LE SIDA
Je voudrais préciser dès le départ que je suis étu
diant en 5ème année de médecine. J' ai écrit ces mots pour
essayer d' aider un maximum de gens à comprendre la
santé... et la maladie. Et le meilleur moyen, à mon avis,
est de raconter mon aventure peronnelle.
Une drôle d'histoire
Un jour j' ai senti que j' avais des ganglions sous
les bras et quelques-uns dans le cou; en fait, j' en avais
un peu partout! J' ai commencé à m' inquiéter et j' ai con
sulté un médecin qui me dit: "Ne paniquez pas! C'est
peu-être simplement une maladie de Hodgkin (sorte de
tumeur bénigne des ganglions)!" Je demandais alors:
est-ce que cela ne pourrait pas être un SIDA?" Il me
répondit: "A quoi correspondent les lettres S.I.D.A?...
Ceci se passait en 1983.
Neuf mois plus tard, après plusieurs examens, prises
de sang et biopsie ganglionnaire axillaire sous anes
thésie générale, la certitude tomba comme un marteau sur
ma tête: après deux sérologies négatives, la troisieme
plus sérieuse s'avéra positive. Cette sérologie signi
fiait que j' étais atteint du fameux SIDA.
Sur le moment, je n' étais pas paniqué, je crois même
que j' étais inconscient du danger. Un docteur (médecin
principal DORMONT) qui me suivait me proposa un traite
ment expérimental: l' HPA 23. Je le fis et cela m' aida,
mais assez lentement et cependant de façon incomplète
puisque, bien que sous traitement depuis six mois, je
tombai malade. Quelle maladie? ... Pneumonie à pneumo
cystis carinii et staphylocoque. Je crois que j' avais
fait les choses correctement, comme on dit! ... En fin de
compte, je fus admis à l' hôpital et fus traité de manière
classique. Et c' est là que l' histoire devient vraiment
intéressante.
Premièrement parce que je réalisai que la médecine
classique pouvait faire des fautes et oublier des choses.
Par exemple, je perdais du poids depuis les six premiers
jours d'hospitalisation, deux kilos en plus des dix kilos
déjà perdus précedemment. Je ne pus voir aucune
diététicienne en dehors des femmes de service qui
comprirent que la nourriture était trop sèche pour moi et
que les nausées dues aux médicaments (12 comprimés de
QUAM, équivalents à six comprimés de BACTRIM FORTE)
m' empêchaient de manger et d'avoir de l'appétit. Je
m'enfonçais dans ma maladie ets dans mon lit, je ne tenais
presque plus debout. Quand vint mon frère...
Surprise
Il était chargé de trois paniers contenant un grand
choix d' aliments dits originels, c'est-à-dire ultivés dans
des conditions naturelles et n' ayant subi aucune transfor
mation physique ou chimique. Il me dit: "Puisque tu ne
peux plus manger ce qu'on te donne ici, essaie de manger
comme moi: commence par sentir chaque légume, fruit ou
protéine, choisis ce qui te semble le meilleur et manges-en
jusqu' à l' arrêt instinctif; en pocédant ainsi, ton instinct
alimentaire t' indiquera le plus court chemin vers la guéri
son". J' acceptai de jouer le jeu, sans trop y croire. Su
prise: moi qui ne pouvais rien avaler, je vis mon appétit
se débloquer dès la première tentative, engloutissant avec
délice un demi choux-fleur, six oranges et deux tomates. Le
lendemain quatre oeufs crus, des légumes et des fruits
frais. En trois jours, mon poids était stabilisé, en six il
avait augmenté de deux kilos! Après quelques hésitations,
ma fièvre tombait définitivement et mon hémoglobine
remontait de 9 à 10 g.
Je mes mis bientôt à remarcher quasi normalement,
alors qu' auparavant je ne pouvais plus faire 50 mètres
sans m' affaisser de fatigue. Toutes mes mycoses dispa
rurent étonnamment vite, ainsi qu'une infection qui
s' était mise dans une blessure à la lèvre, et qui n'avait
pas cédé malgré les anibiotiques.
Il y aurait donc lieu d'espérer que mon immunodé
pression, c'est-à-dire le SIDA lui-même, était déjà en
voie de régression...
Je n'ai pas encore un recul suffisant pour conclure
scientifiquement, bien sûr , mais j'ai le sentiment
profond d' être sur le chemin de la guérison.
Pour conclure rapidement, je dirais que le problème
principal dans les hôpitaux en France- et certainement
dans le monde entier- est le problème de l' alimentation;
nous avons perdu l' usage et le plaisir de l' instinct
olfactif et gustatif car nous avons dénaturé par la cuis
son, l' assaisonnement et tant d' autres artifices une
nourriture que nous ne mangerions pas si nous respections
notre instinct.
Je pense que nous devrions reconsidérer de toute
urgence le problème de la maladie en commencant par
essayer de changer la nourriture des malades, car cela
serait bénéfique pour notre santé, et plus économique
pour notre société!
Merci de publier cette lettre, je suis sûr qu'elle
pourra aider touc ceux qui souffrent de cancer,
leucémies, psoriasis, asthme, maladies auto-immunes, etc,
et surtout de SIDA.
A.O. | 2A vous la parole
SIDA (TEMOIGNAGE)
Au moment où ces quatre lettres font couler tant
d'encre et de salive, et provoquent aussi tant de malheurs,
nous venons d'enregistrer l'un des plus étonnants résultats
de l'instinctothérapie.
Un jeune étudiant en médecine atteint de SIDA a pu pra
tiquer l' alimentatin originelle en service hospitalier
(tout est possible quand on veut!) avec tous les contrôles
médicaux de circonstance. Il a tenu à vous faire part 1E1
de ses premières contatations, apparues déjà après une
"cure instincto" de quatre semaines.
Vous verrez que les résultats obtenus vont dans le sens
de hypothèses instincto sur les maladies utiles: le SIDA
serait un virus utile comme les autres, mais conduisant à
des troubles qui peuvent dégénérer lorsque l' alimentation
s' éloigne trop des données pour lesquelles notre program
mation génétique est prévue.
Jes précise, pour éviter toute inquietude de la part des
curistes et stagiaires venant à Montramé, à propos d' une
éventuelle contagion, qu' aucun cas de SIDA ne sera "soigné"
au Château. Nous avons au contraire l' opportunité de prou
ver que le SIDA peut être traité par l' instincto en milieu
hospitalier ou à domicile, moyennant une formation adéquate
des malades par le biais de diététiciens eux-mêmes formés à
la méthode.
G.C.B.
J' AI LE SIDA
Je voudrais préciser dès le départ que je suis étu
diant en 5ème année de médecine. J' ai écrit ces mots pour
essayer d' aider un maximum de gens à comprendre la
santé... et la maladie. Et le meilleur moyen, à mon avis,
est de raconter mon aventure peronnelle.
Une drôle d'histoire
Un jour j' ai senti que j' avais des ganglions sous
les bras et quelques-uns dans le cou; en fait, j' en avais
un peu partout! J' ai commencé à m' inquiéter et j' ai con
sulté un médecin qui me dit: "Ne paniquez pas! C'est
peu-être simplement une maladie de Hodgkin (sorte de
tumeur bénigne des ganglions)!" Je demandais alors:
est-ce que cela ne pourrait pas être un SIDA?" Il me
répondit: "A quoi correspondent les lettres S.I.D.A?...
Ceci se passait en 1983.
Neuf mois plus tard, après plusieurs examens, prises
de sang et biopsie ganglionnaire axillaire sous anes
thésie générale, la certitude tomba comme un marteau sur
ma tête: après deux sérologies négatives, la troisieme
plus sérieuse s'avéra positive. Cette sérologie signi
fiait que j' étais atteint du fameux SIDA.
Sur le moment, je n' étais pas paniqué, je crois même
que j' étais inconscient du danger. Un docteur (médecin
principal DORMONT) qui me suivait me proposa un traite
ment expérimental: l' HPA 23. Je le fis et cela m' aida,
mais assez lentement et cependant de façon incomplète
puisque, bien que sous traitement depuis six mois, je
tombai malade. Quelle maladie? ... Pneumonie à pneumo
cystis carinii et staphylocoque. Je crois que j' avais
fait les choses correctement, comme on dit! ... En fin de
compte, je fus admis à l' hôpital et fus traité de manière
classique. Et c' est là que l' histoire devient vraiment
intéressante.
Premièrement parce que je réalisai que la médecine
classique pouvait faire des fautes et oublier des choses.
Par exemple, je perdais du poids depuis les six premiers
jours d'hospitalisation, deux kilos en plus des dix kilos
déjà perdus précedemment. Je ne pus voir aucune
diététicienne en dehors des femmes de service qui
comprirent que la nourriture était trop sèche pour moi et
que les nausées dues aux médicaments (12 comprimés de
QUAM, équivalents à six comprimés de BACTRIM FORTE)
m' empêchaient de manger et d'avoir de l'appétit. Je
m'enfonçais dans ma maladie ets dans mon lit, je ne tenais
presque plus debout. Quand vint mon frère...
Surprise
Il était chargé de trois paniers contenant un grand
choix d' aliments dits originels, c'est-à-dire ultivés dans
des conditions naturelles et n' ayant subi aucune transfor
mation physique ou chimique. Il me dit: "Puisque tu ne
peux plus manger ce qu'on te donne ici, essaie de manger
comme moi: commence par sentir chaque légume, fruit ou
protéine, choisis ce qui te semble le meilleur et manges-en
jusqu' à l' arrêt instinctif; en pocédant ainsi, ton instinct
alimentaire t' indiquera le plus court chemin vers la guéri
son". J' acceptai de jouer le jeu, sans trop y croire. Su
prise: moi qui ne pouvais rien avaler, je vis mon appétit
se débloquer dès la première tentative, engloutissant avec
délice un demi choux-fleur, six oranges et deux tomates. Le
lendemain quatre oeufs crus, des légumes et des fruits
frais. En trois jours, mon poids était stabilisé, en six il
avait augmenté de deux kilos! Après quelques hésitations,
ma fièvre tombait définitivement et mon hémoglobine
remontait de 9 à 10 g.
Je mes mis bientôt à remarcher quasi normalement,
alors qu' auparavant je ne pouvais plus faire 50 mètres
sans m' affaisser de fatigue. Toutes mes mycoses dispa
rurent étonnamment vite, ainsi qu'une infection qui
s' était mise dans une blessure à la lèvre, et qui n'avait
pas cédé malgré les anibiotiques.
Il y aurait donc lieu d'espérer que mon immunodé
pression, c'est-à-dire le SIDA lui-même, était déjà en
voie de régression...
Je n'ai pas encore un recul suffisant pour conclure
scientifiquement, bien sûr , mais j'ai le sentiment
profond d' être sur le chemin de la guérison.
Pour conclure rapidement, je dirais que le problème
principal dans les hôpitaux en France- et certainement
dans le monde entier- est le problème de l' alimentation;
nous avons perdu l' usage et le plaisir de l' instinct
olfactif et gustatif car nous avons dénaturé par la cuis
son, l' assaisonnement et tant d' autres artifices une
nourriture que nous ne mangerions pas si nous respections
notre instinct.
Je pense que nous devrions reconsidérer de toute
urgence le problème de la maladie en commencant par
essayer de changer la nourriture des malades, car cela
serait bénéfique pour notre santé, et plus économique
pour notre société!
Merci de publier cette lettre, je suis sûr qu'elle
pourra aider touc ceux qui souffrent de cancer,
leucémies, psoriasis, asthme, maladies auto-immunes, etc,
et surtout de SIDA >>.
A.O. |